Le Périgord, là où l’histoire de Barnabé prend naissance…

Le Verger de Barnabé : La rencontre d’un terroir unique, d’hommes de talent et d’un trésor de la nature… 

Nous lui devons tout ! Notre terre du Périgord nous offre le meilleur des fruits : la noix.
Notre seul talent : avoir pris le temps de bien connaître nos noyeraies pour leur permettre de donner le meilleur d’elles-mêmes : un fruit sain, d’une exceptionnelle qualité nutritionnelle.

La Noix du Périgord est notre richesse. Elle permet d’allier le plaisir de dégustation à l’apport nutritionnel naturel en Oméga 3 et 6. Entière, en cerneaux ou travaillée de la manière la plus artisanale pour en extraire son huile, nous sommes fiers de vous proposer ce que nous avons de meilleur : Le Verger de Barnabé.

De terre, de soleil et d’eau

Le Périgord bénéficie des conditions idéales pour la culture des noix. 
Les noyers y poussent depuis toujours. On a trouvé des traces de coques de noix remontant à 17 000 ans dans les lieux d’habitation de l’homme de Cro-Magnon dans le Périgord.

Le temps

Il faut du temps pour faire une noix.
Pour les noix sèches, la récolte à lieu lorsque le brou a séché, alors que les noix fraîches sont cueillies avant maturité. Il faut alors enlever le brou manuellement.  

Une histoire d’hommes de talent, unis pour le meilleur.

« Bien sûr, Barnabé n’est pas seul ! A plusieurs on est toujours meilleurs. « 
Unis en Groupement, ce sont plusieurs producteurs situés dans la zone de production Périgord (Dordogne, Limousin, Quercy) qui conjuguent leurs savoir-faire pour vous offrir le meilleur de la noix.

Si “Barnabé” m’était conté…

Fils d’un modeste et taciturne paysan périgourdin, Barnabé ne comprenait pas l’attachement de son père à ce lopin qu’il cultivait inlassablement.

– C’est ma terre, je l’aime et elle me le rend, lui disait-il.
– Ma terre à moi c’est le monde, je veux le voir, partir à sa rencontre, répondait Barnabé.

Cet impérieux désir d’ailleurs, d’action et d’aventure fit qu’à peine devenu un homme, alors qu’ils étaient tous les deux assis sur le perron de la ferme pour contempler le coucher du soleil, Barnabé dit à son père :

– Je m’en vais demain.
– Oui, répondit son père, je sais. Mais avant, prends ce pot qui est là et viens avec moi.

Barnabé vit le pot sur le rebord de la fenêtre. Une jeune pousse, trop petite pour indiquer de quelle plante il s’agissait, sortait timidement de la terre. Il le prit et suivit son père au milieu du champ. Un petit trou préparé pour la plante les y attendait.

– Plante-le maintenant. Je penserai à toi en le voyant grandir.

 

Toute sa vie, Barnabé parcouru le monde le pied léger, sans autre but que la découverte d’autres paysages, d’autres visages, d’autres cultures et d’autres goûts. L’Afrique, l’Asie, l’Europe, les lacs les montagnes, les plaines, les forêts, les villes, les ports, les artisans, les paysans, les musiciens, les poètes, il voulait tout voir, tout découvrir. Il était de tous les pays, parlait de nombreuses langues et se sentait appartenir à la Terre entière. « Je suis devenu citoyen du Monde ! », se disait-il.

Après une vie de ces aventures, marchant au hasard comme toujours, au sortir d’une profonde forêt de chênes et de châtaigniers, il déboucha sur une petite plaine encaissée au centre de laquelle poussait un arbre majestueux. Un noyer. Barnabé descendit jusqu’à lui. « Voilà qui me donnera à me restaurer pour ce soir ! » se dit-il en regardant les fruits tombés au sol. Il aperçut alors une vieille ferme en ruine en contrebas. « Et voilà qui me fournira certainement un toit pour la nuit ! ». Il s’approcha de la masure pour voir s’il y trouverait de quoi se préparer une couche confortable. Sentant les rayons du soleil lui réchauffer le dos, il s’assit sur le perron pour profiter de la vue du couchant.

Ses yeux s’emplirent de larmes.

Il était revenu à la ferme de son père. Ses pieds l’avaient ramené au départ !

Il rejoignit l’arbre, posa la main sur son tronc. Les yeux rougis, il dit :

– Tu savais. Tu savais que je reviendrais…

Il ramassa une noix.

– J’ai beaucoup voyagé, vu plus de lieux et rencontré plus de gens que ce que je pouvais imaginer. Comme cet arbre, j’ai bien grandi. Je sens aujourd’hui que mes racines sont les mêmes que les siennes. Je veux maintenant les faire pousser dans la même terre. La découverte et l’aventure je les trouverai désormais dans cet arbre et ces fruits… mon héritage.

Depuis ce jour, Barnabé fit pousser des noyers dans le champ de son père. Mais pour ses enfants, ses petits enfants et tous ceux qui le connaissent, c’est son verger :

Le verger de Barnabé.

 

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Retrouvez le goût pour l’exploration, l’aventure et la découverte de Barnabé dans notre sélection de produits à base de noix du Périgord.

Le verger de Barnabé : les racines et l’aventure.